Parfum de nostalgie. Je
savais bien que là étaient posées les limites du possible ; que mes yeux
ne devaient pas s’obstiner à fouiller davantage les alentours de cette
école ; qu’ils ne découvriraient jamais ce quelque chose qui ressemblât,
même de loin, à l’église de Crusnes. Cette église est bien trop unique pour
qu’on la confondît avec une autre.
Un parfum de limaille resurgit et, avec lui,
l’édifice commandité par les De Wendel en 1938.
Parfum de carbure s’évaporant de la lampe, frottée
comme celle d’Aladin, et mes souvenirs aux étranges fragrances, réintègrent une
âme poudrée d’ocre.
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