Poste restante
Huit nouvelles, huit écrivains qui s'expriment au travers de courriers denses et étayés d'émotions, voilà le pari lancé par Angela Boeres-Vettor. Un beau moment de partage. Marie-Anne Lorgé, Le Jeudi
Sans Malice au Pays Vermeil
Au niveau des résonances littéraires que la lecture peut induire, on peut faire des rapprochements avec La princesse de Ségur, avec Colette, avec l'enfance d'Olivier dans Les Allumettes suédoises de Robert Sabatier; le thème est universel, mais la façon de vivre ses jeunes années est toujours singulière. Frank Wilhelm, Tageblatt
La Dame du Fer
Angela Boeres-Vettor, cette exilée en parle avec amour et passion Marcel Cordier, La Dépêche Meusienne
Angela Boeres-Vettor préserve l'âme de la région. Elle s'y emploie avec une généreuse simplicité et une mé- moire vive, signes d'une volonté et d'une foi attachantes. Julien Bestgen, Luxemburger Wort Reflets de Lune Les héros, hommes ou femmes, d'Angela Boeres-Vettor, sont la proie de diverses passions, dans une espèce de fête de grand guignol où la morale ne se trouve pas à l'aise, mais où la drôlerie, teintée ici et là d'amertume, perce souvent in fine sous forme d' une sortie de scène inattendue. Angela Boeres-Vettor conduit ses récits avec allégresse.Elle va, elle fonce. Ses héroïnes sont de formidables natu- res et elle semble beaucoup s'amuser à les agiter sous nos yeux. Georges Jacquemin, Pollen d'Azur
Avec simplicité, humour et poésie, l'auteur nous dessine des "choses de la vie", même si celles-ci ne sont pas tou- jours roses. Marcel Cordier, La Dépêche Meusienne
Ce que l' on aimera dans ce recueil, c' est l'utilisation judicieuse des niveaux de langues. Parfois c'est le dialogue familier, le patois rustique, parfois aussi le lexique précieux de la Carte du Tendre. Angela Boeres-Vettor donne la parole à des générations de porteuses de jupons jusque-là condamnées au mutisme social et littéraire. Frank Wilhelm, Tageblatt
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